Le coprah – Te puha … Te mono’i
Posté par rainbowoman le 17 septembre 2009
Voici le matériel nécessaire :
1ère étape : rassembler les cocos :
2è étape : fendre les noix :
3ètape : sécher les noix fendues :
4è étape : retirer la noix à l’aide du « pita’a » :
7 è étape : peser les sacs : étape très attendue, car c’est le jour de paye
))
8è étape : transport à Papeete Certaines îles n’ont pas de quai, donc le bateau mouille au large et c’est une baleinière qui fait la navette entre la Terre et le navire. Tous ces sacs iront à l’Huilerie de Tahiti.
9è étape : l’Huilerie de Tahiti :
Dans les familles polynésiennes, se sont souvent les « mamies » qui font le mono’i.
Le coco est râpé, mis dans une bassine puis exposé au soleil. Cette étape peut prendre des semaines, cela dépend du temps. Tous les soirs, on couvre la bassine d’un tissus, pour éviter toute intrusion de bestioles. Au fur et à mesure, on ajoute des fleurs de Tiare Tahiti, qui donnera son parfum au mono’i.
L’utilisation du MONO’I
On l’utilise pour :
- le soin des cheveux
- le massage
- le bronzage )
- le bain d’un nouveau-né : on verse une petite cuillère de mono’i dans son bain (bien tenir bébé, car c’est de l’huile… ça glisse)
Si on attrape un coup de froid, on chauffe le mono’i dans une petite cuillère que l’on verse ensuite sur le nombril et l’on commence un massage circulaire.
La fabrication du mono’i en chanson avec Maruia » Hei tiare »
http://www.dailymotion.com/video/x7m1aw
Ia ora na Jojo, j’adore la noix de coco et tout ce qui nous apporte, ton article m’a appris des choses.
Je viens te souhaiter un bon w-k et te faire des gros bisous
Ia ora na Chica de la Rochelle
hi hi hi ! moi j’ai tout ce qui est fait à base de coco … j’aime j’aime j’aime trop … hi hi hi
Biiiiiiiiiiiisous
Te aroha ia rahi
Jojo
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